Le dieu noir et le guignol blanc, fable scatologique

Publié le par le chat qui pêche

 

De l'élégance :  Question de style ? Non, question de fond !

 

 

Barack Obama ramasse le pétrole échouée sur la plage, à main nue.

 

 

Deux articles se côtoient sur le site "Libération.fr"

 

L'un nous montre cette photo d'Obama ramassant un galet de goudron sur une plage du Nouveau Mexique. Cette photo est exceptionnelle :  Le Président d'une des plus grandes puissances mondiales est représenté dans la position la plus inconfortable et la moins prestigieuse qui soit !

Pourtant,  même accroupi, cet homme-là conserve sa grandeur et son élégance naturelle.

Il est entièrement à ce qu'il fait, il ne "pose" pas. Il observe, il réfléchit ; concentré comme un enfant dans son jeu, ce qui signifie, pour le pédagogue, en plein travail intellectuel. Cette attitude n'est pas dictée par un souci de propagande médiatique, elle dictée par la nécessité de l'instant et la préoccupation du Président pour son Pays.

Et personne de sensé ne peut dire, même si la posture peut y faire subliminalement penser, "on dirait qu'Obama est en train de ch ..".

 

  

Le deuxième article de Libération relate le propos de Martine Aubry, hier, devant les membres du PS, au sujet de la dernière sortie de Sarkozy.  En substance "C'est la faute à Mitterrand si on est dans la m... avec les retraites aujourd'hui"  Pourtant Sarkozy se vantait de souenir cette décision en 93, et se vantait de n'y jamais toucher en 2008.

 Mme Aubry a déploré, à juste titre, "l'inélégance" du procédé, ainsi que la "bonne dose de vulgarité de son auteur".   

Mais elle reste cependant en dessous de la réalité, tant l'inélégance et la vulgarité  colle au squelette de Sarkozy. Car même debout et bien sapé, perché sur ses ergots talonnettes, Sarkozy déparle comme d'autres défèquent. Sa logorrhée est une diarrhée.  

 

 Barck Obama peut s'accroupir, il reste impérial et quoi qu'il dise ou fasse, on le sent réellement préoccuppé du sort de son Pays et de ses compatriotes.

 

Alors que Nicolas Sarkozy droit comme un i, n'étant préoccupé que de sa réélection et de son image, reste toujours dans la position du chieur moyen.

 

En conclusion et résumé, qu'il soit assis, debout ou couché, Sarkozy a de plus en plus de mal à cacher qu'il prend la France pour un cagoince et les Français pour du vulgum P.Qum. 

 

 

Publié dans humour

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